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Résumé :
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Le point sur les manières dont la cuisson des aliments a eu un effet sur la longévité humaine. Aperçu de particularités propres à l'espèce humaine : un tube digestif plus court que chez les autres primates, la cuisson, l'abandon de la coprophagie ; cas de la vitamine B12 (issue de bactéries) et non présente dans le monde végétal et principes de sa synthèse à partir de la consommation de produits animaux ; les réactions chimiques issues de la cuisson (réactions de Maillard, réarrangements d'Amadori, processus de racémisation) ; le rôle du microbiote intestinal comme barrière aux dérivés toxiques formés par la cuisson des aliments.
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