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Résumé :
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Point, établi en 2011, sur la notion d’efficience des marchés : efficience "allocative", efficience opérationnelle et surtout efficience informationnelle, définissant la valeur intrinsèque des actifs financiers. Les trois formes d’efficience informationnelle. La remise en cause de ses hypothèses, depuis la crise de 2007-2010, par les résultats non concluants des tests empiriques, par le paradoxe de Grossman et Stiglitz, ainsi que par certaines observations sur le fonctionnement des marchés financiers. Présentation d’une autre interprétation du fonctionnement des marchés, basée sur la théorie de Keynes, privilégiant une valorisation spéculative des actifs.
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