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Résumé :
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Remise en question, en 2011, du bien-fondé de la libéralisation financière, engagée dans les pays occidentaux, à partir des années 1970. Retour sur les trois dimensions de la globalisation financière, aux origines de la crise économique de 2007 : l’intensification de la circulation internationale des capitaux, l’éclatement des cadres de l’intermédiation financière entraînant un développement des mécanismes de transfert de risque, l’intensification des transferts internationaux d’épargne. A l’issue de la crise, la nécessité de gérer la globalisation financière, au niveau international, afin de favoriser la croissance économique (décisions prises lors de la réunion du G20, en 2010) : limitation des transferts d’épargne, contrôle des mouvements de capitaux vers les pays émergents et consolidation des infrastructures de la finance globalisée, par la mise en place d’un cadre prudentiel imposé aux banques.
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